MAISONS DE FORTUNE PARISIENNES
There is no more ephemeral architecture in Paris than these
makeshift houses. A gust of wind, a gust of rain, sometimes even a kick will be the reason for these shelters made of misery, recuper ', of resourcefulness but especially of instinct. That of surviving "dry", "hot", out of sight, one more day, one more night.
Keeping a photographic trace of these cardboard walls, it may be to make them a little
stronger, a little more durable, a little more visible see guilt feelings.
Raoul Haussmann, Hector Guimard, Jean Nouvel ... the Paris of avenues had its great
architects, the Paris of the recesses its archi poor . MAISONS FORTUNE Il n’y a pas à Paris
d’architecture plus éphémère que ces maisons de fortune. Un coup de
vent, un coup de pluie, parfois même un coup de pied auront raison de ces abris faits de
misère, de récup’, de débrouille mais surtout d’instinct . Celui de survivre au « sec », au «
chaud » , à l’abri des regards, un jour de plus, une nuit encore.
Garder une trace photographique de ces murs de cartons , c’est peut être les rendre un
peu plus solides, un peu plus durables, un peu plus visibles voir culpabilisants.
Raoul Haussmann, Hector Guimard, Jean Nouvel…le Paris des avenues a eu ses grands
architectes, le Paris des recoins ses archis pauvres
makeshift houses. A gust of wind, a gust of rain, sometimes even a kick will be the reason for these shelters made of misery, recuper ', of resourcefulness but especially of instinct. That of surviving "dry", "hot", out of sight, one more day, one more night.
Keeping a photographic trace of these cardboard walls, it may be to make them a little
stronger, a little more durable, a little more visible see guilt feelings.
Raoul Haussmann, Hector Guimard, Jean Nouvel ... the Paris of avenues had its great
architects, the Paris of the recesses its archi poor . MAISONS FORTUNE Il n’y a pas à Paris
d’architecture plus éphémère que ces maisons de fortune. Un coup de
vent, un coup de pluie, parfois même un coup de pied auront raison de ces abris faits de
misère, de récup’, de débrouille mais surtout d’instinct . Celui de survivre au « sec », au «
chaud » , à l’abri des regards, un jour de plus, une nuit encore.
Garder une trace photographique de ces murs de cartons , c’est peut être les rendre un
peu plus solides, un peu plus durables, un peu plus visibles voir culpabilisants.
Raoul Haussmann, Hector Guimard, Jean Nouvel…le Paris des avenues a eu ses grands
architectes, le Paris des recoins ses archis pauvres